ARRÊT DE LA TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS, CLASSEMENT SANS SUITE DU RAPPORT DE L’OFNAC … DES INTELLECTUELS DE L’APR INTERPELLENT MACKY SALL

05 - Novembre - 2016

ARRÊT DE LA TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS, CLASSEMENT SANS SUITE DU RAPPORT DE L’OFNAC … DES INTELLECTUELS DE L’APR INTERPELLENT MACKY SALL

Le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la République (Cirsem) tire à boulets rouges sur son mentor, le président de l’Alliance pour la République et président de la République. Dans un communiqué transmis à sud quotidien, les membres de cette structure ont déploré les lenteurs constatés dans la conduite de certains dossiers, notamment celui de la traque des biens supposés mal acquis, et les conclusions de différents rapports des corps de contrôle de l’Etat et celle de l’Ofnac.

Les interrogations sur la réelle volonté du régime de Macky Sall à apporter des ruptures dans la gestion des affaires publiques gagnent le camp du pouvoir. Après l’opposition sénégalaise et une partie de l’opinion publique, c’est autour des partisans du président de la République, notamment les membres du Comité des Intellectuels Républicains pour le Suivi des Engagements et de la Massification de l’Alliance pour la République (Cirsem), de monter au créneau.

Dans un communiqué transmis à sud quotidien, Lassana Sidibé membre de la Convergence des cadres républicains par ailleurs coordonnateur du Cirsem et ses camarades ont déploré les lenteurs constatés dans la conduite de certains dossiers notamment celui de la traque des biens supposées mal acquis, des différents rapports des corps de contrôle de l’Etat et celui de l’Ofnac.

Dans ce document, les membres de Cirsem disent «constater un coup d’arrêt spectaculaire à la traque aux biens mal acquis, une demande sociale; du rapport de l’OFNAC , ainsi que des dossiers épinglés dans les différents rapports des corps de contrôle de l’Etat sur lesquels le Président Macky Sall dit avoir mis le coude».

Le Cirsem, note que «ce coup d’arrêt spectaculaire sans résultats significatifs, dans ces affaires qui a l’entame étaient une demandLe Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la République (Cirsem) tire à boulets rouges sur son mentor, le président de l’Alliance pour la République et président de la République. Dans un communiqué transmis à sud quotidien, les membres de cette structure ont déploré les lenteurs constatés dans la conduite de certains dossiers, notamment celui de la traque des biens supposés mal acquis, et les conclusions de différents rapports des corps de contrôle de l’Etat et celle de l’Ofnac.

Les interrogations sur la réelle volonté du régime de Macky Sall à apporter des ruptures dans la gestion des affaires publiques gagnent le camp du pouvoir. Après l’opposition sénégalaise et une partie de l’opinion publique, c’est autour des partisans du président de la République, notamment les membres du Comité des Intellectuels Républicains pour le Suivi des Engagements et de la Massification de l’Alliance pour la République (Cirsem), de monter au créneau.

Dans un communiqué transmis à sud quotidien, Lassana Sidibé membre de la Convergence des cadres républicains par ailleurs coordonnateur du Cirsem et ses camarades ont déploré les lenteurs constatés dans la conduite de certains dossiers notamment celui de la traque des biens supposées mal acquis, des différents rapports des corps de contrôle de l’Etat et celui de l’Ofnac.

Dans ce document, les membres de Cirsem disent «constater un coup d’arrêt spectaculaire à la traque aux biens mal acquis, une demande sociale; du rapport de l’OFNAC , ainsi que des dossiers épinglés dans les différents rapports des corps de contrôle de l’Etat sur lesquels le Président Macky Sall dit avoir mis le coude».

Le Cirsem, note que «ce coup d’arrêt spectaculaire sans résultats significatifs, dans ces affaires qui a l’entame étaient une demande social, illustre le problème de l’égalité républicaine ; un objectif de vengeance, de chantage avec l’appareil d’Etat vis-à-vis d’adversaires politiciens ; les mêmes déceptions encore plus pathologiques aujourd’hui, malgré l’engagement dans le programme yonnu yokute pour une justice indépendante et moderne», déplore Lassana Sidibé et compagnie. Par ailleurs, les membres du Cirsem exhortent le Président Macky Sall à «aller jusqu’au bout dans le respect de ses engagements et de ne protéger personne pour que la justice puisse faire son travail».

e social, illustre le problème de l’égalité républicaine ; un objectif de vengeance, de chantage avec l’appareil d’Etat vis-à-vis d’adversaires politiciens ; les mêmes déceptions encore plus pathologiques aujourd’hui, malgré l’engagement dans le programme yonnu yokute pour une justice indépendante et moderne», déplore Lassana Sidibé et compagnie. Par ailleurs, les membres du Cirsem exhortent le Président Macky Sall à «aller jusqu’au bout dans le respect de ses engagements et de ne protéger personne pour que la justice puisse faire son travail».

Autres actualités

18 - Mai - 2019

Macky Sall, à l’épreuve des conclusions

Une des conditions posées par le Front de résistance nationale (Frn) pour prendre part au dialogue politique, reste l’engagement écrit du président de la...

18 - Mai - 2019

L'Etat met le fisc aux trousses de Madické Niang et bloque ses comptes

Madické Niang, qui "écrasait tout sur son passage" durant la campagne électorale de février dernier, a certainement oublié le Fisc. Ce dernier a tout simplement...

18 - Mai - 2019

Accidents mortels de la circulation: Oumar Youm fait le bilan du " massacre" routier

En visite de prise de contact avec les services, directions et structures sous la tutelle du ministère des Infrastructures, des Transports terrestre et du Désenclavement, Oumar Youm...

18 - Mai - 2019

BABACAR DIOP (FDS) : "POURQUOI L’OPPOSITION DOIT BOYCOTTER LE DIALOGUE POLITIQUE"

"Si Macky Sall veut un dialogue franc et sincère, il doit poser des actes forts. Ce qui n’est pas encore le cas. L’opposition doit purement et simplement boycotter le dialogue...

17 - Mai - 2019

Magistrature : Ça grogne dans les parquets

Des juges n'ayant jamais fait le parquet bombardés procureurs généraux dans les Cours d'appel. Cette trouvaille, qui a débuté sous le règne de Me Sidiki...