Cheikhou Diakhaté un homme politique très sociale
"Le Sénégal est engagé sur la voie de l'émergence économique", Les préoccupations premières des Sénégalais restent l’eau, l’électricité, l'éducation et la santé. Le social et les infrastructures sont le fer de lance de la politique de Macky Sall, qui a mis en place un programme de couverture maladie universelle (CMU) et de bourses destinées aux familles les plus pauvres.
Des hommes politiques comme Cheikhou Diakhaté n’ont pas attendu l’appel du président pour descendre sur le terrain et soutenir la population, depuis plus de 10 ans le jeune Cheikhou ne cesse de venir en aide aux plus démunis.
Plus d’une trentaine de bornes fontaines de puits ont été installés par sa fondation « Case et Eau » dans certains quartiers de Kaolack et dans plusieurs villages environnants, Chaque années il apporte des dons de matériel médical aux différents hôpitaux de la région de Kaolack et à l’association des handicapés de Kaolack.
Personnage discret mais observateur profond, il parle relativement peu de lui-même bien que son rôle soit éminent depuis des années dans sa ville d’adoption Lyon auprès des immigrés et surtout des étudiants sénégalais, homme de conviction et d'une générosité débordante Cheikhou comme l’appelle ses amis n’oublie jamais la ou il vient particulièrement son quartier de Sam.
Pour Cheikhou la pauvreté est un phénomène complexe. Si globalement la pauvreté peut se définir comme une situation où les besoins ne sont pas satisfaits, deux questions se posent : quels types de besoins doivent être pris en compte ? Quel est le niveau que l’on peut considérer comme satisfaisant ? Une attention particulière doit être accordée à la pauvreté subjective, c'est-à-dire la perception de la population de ses conditions de vie, chaque individu ayant ses propres critères pour se déclarer satisfait ou non par rapport aux besoins qu’il estime vitaux.
Animé par le principe de justice sociale et d’équité, il a pensé opérer une redistribution plus équitable des richesses du pays. Ceux qui sont les oubliés du système politique dans plusieurs pays du monde sont, au Sénégal, pris en compte. Ce procédé a un nom : l’inclusion sociale. Comment rester de marbre et ne pas applaudir si tant est qu’en politique on doit chercher d’abord l’amélioration du vécu des citoyens ?
Pour un croyant, le social c’est, en définitive, donner du yëmande et recevoir du tiyaabo en retour.
Pour lui nous avons le devoir d’aider la population, quels que soient le régime et la personne qui sont à sa tête, à améliorer la situation sociale de nos compatriotes.