« Farba Senghor est un homme désespérément seul… Il n’a existé qu’en étant courtier du Président Abdoulaye Wade »

Suite à la sortie de Farba Senghor chez nos confrères du journal Les Echos, qualifiant Oumar Sarr de « carrent », Abdoul Aziz Diop, secrétaire général de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) monte au créneau. Il n’a pas raté Farba Senghor en parlant d’excès, de calomnie pour une personne qui « n’a ni le profil », « ni le parcours » de Oumar Sarr. Selon lui, Farba Senghor est un homme sans parcours ni histoire.

« Il n’est pas utile de le nommer. Il serait facile de l’identifier tant il est connu pour ses excès. Cet homme n’est pas seulement un élément hors du commun, il est aussi une incongruité dans la classe politique de notre pays qui fait tache dans notre parti. Chaque fois que cet élément hors du commun sort du bois et rugit, c’est pour débiter des insanités et déverser sa bile sur d’honnêtes et paisibles citoyens« , lance-t-il.

Abdoul Aziz Diop tient quand même à préciser, sur les colonnes de Assirou.net, à « l’opinion », qu’Oumar Sarr, en sa qualité de maire de Dagana, a assisté à l’inauguration de la nouvelle gendarmerie de sa commune par le Président Macky Sall et a décliné avec courtoise l’invitation du Président à partager sa voiture pour se rendre à Bokhol.

Toujours dans sa logique d’attaque il poursuit: « Comme chacun le sait, Farba Senghor est un homme désespérément seul, un homme sans parcours ni histoire. Il n’a existé qu’en étant courtier d’un homme exceptionnel de la dimension du Président Abdoulaye Wade qui, par pure générosité, l’a promu à des responsabilités publiques. »

« Hier comme aujourd’hui, il cristallise à lui seul le rejet du Pds par les Sénégalais. Il fait partie de ceux-là qui ont fait perdre le pouvoir au Pds et de ceux-là que les Sénégalais ne veulent plus voir même en photo. Au lieu de mettre son énergie à attaquer Oumar Sarr, le plus grand service qu’il peut rendre au Pds et au Sénégal, c’est de s’éclipser et de se faire oublier par les Sénégalais« , conclut-il.