">

FATICK : LE CONCEPT "UBI TEY JANG TEY" EN MARCHE MALGRÉ QUELQUES DIFFICULTÉS (IA)

05 - Octobre - 2016

FATICK : LE CONCEPT "UBI TEY JANG TEY" EN MARCHE MALGRÉ QUELQUES DIFFICULTÉS (IA)

Le concept "Ubi Tey jang Tey" est en marche dans certains établissements de la commune de Fatick malgré quelques problèmes relevés par des directeurs d’écoles a indiqué, mercredi, l’inspecteur d’académie de Fatick, Mandogou Sarr qui estime que ces difficultés qui ne peuvent pas "gêner le démarrage des cours".

"Aucun secteur n’est épargné. Nous avons commencé par le préscolaire et nous venons de boucler la mission au niveau du secondaire, le lycée de la commune" a dit Mandogou Sarr lors de la visite traditionnelle des écoles pour, cette année, constater l’effectivité du concept "Ubi Tèy Jang Tèy".

"Au niveau du préscolaire, de l’élémentaire, nous avons vu
déjà que la mobilisation de la communauté a permis de mettre à la disposition des écoles des infrastructures qui sont accessibles notamment au niveau de l’école élémentaire Moustapha Baïdy Bâ, on a vu effectifs qui sont en classe en train de faire cours" a salué l’inspecteur d’académie.

"Ailleurs, a-t-il relevé, c’est surtout le problème des effectifs qui est posé. Il n’y a pas beaucoup d’élèves sauf au niveau du privé où on a constaté que la présence des élèves est assez importante".

"Tout cela pour dire que le concept est en marche" a soutenu M. Sarr, ajoutant que le démarrage effectif des cours dès l’ouverture "commence à avoir des frémissements mais il reste encore beaucoup de choses dans le cadre de la sensibilisation des parents pour amener les élèves dans les écoles".

Selon lui, "des instructions ont été données pour que dans les deux
jours qui suivent même si nous avons deux ou trois élèves par classe, les cours vont être effectivement démarrés par les professeurs".

"Des difficultés qui ont pour nom, déficit de table bancs, déficit de matériel ici et là mais des difficultés qui ne peuvent pas gêner le
démarrage des cours. Nous pouvons démarrer les cours et continuer à apporter des réponses aux différents problèmes qui sont signalés par les chefs d’établissements" a-t-il fait savoir.

"Si on nous parle de déficit de professeurs, on est en train de voir comment compléter. Pour les tables bancs, les collectivités locales se sont engagées à faire une contribution pour nettoyer les écoles, pour remettre à neuf les toilettes mais également pour réparer les tables bancs" a assuré M. Sarr.

"On est obligé de faire face à toutes ces situations pour permettre aux écoles de fonctionner" a signalé Mandogou Sarr.

Autres actualités

31 - Octobre - 2017

Environ 10.000 écoliers sans pièce d’état-civil à Gossas (responsable)

Quelque dix-mille écoliers inscrits dans différents établissements scolaires de Gossas ne disposent pas d’état civil, a révélé, lundi, Amath...

30 - Octobre - 2017

TOUBACOUTA : LES ACTEURS PLAIDENT POUR LA FORTE MOBILISATION ET LE RESPECT DE VALEURS TABOUES

La commune de Toubacouta a abrité, les vendredi 27 et samedi 28 octobre derniers, un atelier national de formation sur les techniques de l’inventaire du patrimoine culturel...

19 - Octobre - 2017

Toubacouta : un activiste appelle à la mobilisation générale en faveur de l’arbre

Le président de l’association sénégalaise de gestion participative des ressources naturelles et de protection de l’environnement, Jean Gueup, a appelé...

19 - Octobre - 2017

Fatick, hôte de la prochaine édition de la semaine du tourisme

Le directeur général de la Société d’aménagement et de promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (SAPCO), Bocar Ly, a...

11 - Octobre - 2017

Développement local : Le maire de Sokone compte sur l’implication des populations

Mamadou Moustapha Guèye, le maire de la commune de Sokone dans le département de Foundiougne, a plaidé dimanche en faveur d’un sursaut citoyen pour doper le...