Fête du 1er Mai : Les travailleurs réclament de meilleurs traitements
Les travailleurs sénégalais à l’instar de la communauté internationale célèbrent ce mercredi 1er mai, la fête du travail en commémoration de ce qui s’est passé à travers l’histoire pour la classe ouvrière.
Au Sénégal, comme il est de tradition, cette journée sera marquée par des défilés, rassemblements et le dépôt de cahiers de doléances sur la table du président de la République, Macky Sall pour un suivi des dossiers pour de meilleures conditions de travail.
Cette année aussi, les revendications des travailleurs semblent être les mêmes que celles de l’année dernière. Dans plusieurs secteurs d’activités, les cahiers de doléances sont restés presque en l’état. Rien n’a changé, sinon peu. Aussi bien dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la gestion des collectivités locales, de la presse, les travailleurs sont loin de voir le bout du tunnel.
Pour beaucoup de maison de presse, le constat est le même : les conditions précaires que vivent les journalistes. Entre stages et contrats de prestation à long terme, le combat du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) pour freiner ce fléau. Makhaly Ndiack Ndoye, délégué au sein du groupe futurs médias et membre du SYNPICS donne son avis.
Au Groupe Le Soleil, le secrétaire général du Synpics, Maguette Ndong dit privilégier le dialogue avant toute action syndicale
Sénégal : Les leurres et lueurs d’un changement de cap annoncé par le Président Macky Sall dans le domaine de la santé, le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) comme prévu, poursuit leur plan d’action. L’objectif de leur combat est de faire de sorte d’avoir une meilleure considération dans le domaine de la santé.
Cependant, Dr Yéri Camara, secrétaire général du SAMES donne la position de son syndicat.