Un employé énumère les difficultés du haras de Kaolack
Le haras de Kaolack (centre) est confronté à quelques difficultés dont l’une des plus importantes est l’absence d’un logement pour ses agents, a-t-on appris vendredi de son responsable, Youssoupha Ndiaye.
Selon M. Ndiaye, le logement destiné au personnel est en construction, ce qui empêche les employés d’un tel établissement de travailler à n’importe quelle heure, comme l’exige le domaine équestre.
Il souhaite que soient élaborées des ‘’stratégies’’ favorisant la conservation des semences des étalons, dans le but de les multiplier et de pouvoir les utiliser à l’avenir.
Les intrants utilisés viennent d’Europe, et parfois le haras peine à les trouver, signale Youssoupha Ndiaye, relevant des ‘’problèmes de mobilité’’ dans l’établissement.
Il a reconnu qu’entre 2004 et 2019, ‘’il y avait une dormance entre le moment où le haras existait ici et le moment où il y avait de grands éleveurs orientés vers l’amélioration génétique’’.