Aux Etats-Unis, la surprise et le choc après la démission du secrétaire à la défense James Mattis
ésavoué alors qu’il plaidait en faveur du maintien de cette force de stabilisation déployée dans le nord-est du pays pour lutter contre l’organisation Etat islamique (EI), le secrétaire à la défense des Etats-Unis, James Mattis, a jugé, jeudi 20 décembre, qu’il n’était plus en mesure de travailler aux côtés de Donald Trump.
La lettre de sa démission, qui prendra effet en février, le temps qu’un successeur soit nommé et confirmé par le Sénat, le dit sans ambages.
« Parce que vous avez le droit d’avoir un secrétaire à la défense dont les vues sont mieux alignées sur les vôtres (…), je pense que me retirer est la bonne chose à faire », assure le général du corps des marines.
Il conclut sa missive en assurant avoir « apprécié d’avoir pu servir la nation » ainsi que « nos hommes et femmes sous l’uniforme ». Sans un mot de remerciement pour le président.