">

En Nouvelle-Zélande, le gouvernement veut décriminaliser l’avortement

05 - Août - 2019

Le projet de loi était attendu de longue date. Le gouvernement néo-zélandais a publié lundi 5 août un texte visant à libéraliser l’avortement, qui sera considéré comme relevant du domaine de la santé et du choix des femmes plutôt que comme un crime. Aux termes de ce projet de loi, qui sera présenté jeudi au Parlement, une femme pourra se faire avorter jusqu’à la vingtième semaine de grossesse et sur avis médical au-delà.
La Nouvelle-Zélande est actuellement dotée de lois restrictives sur l’interruption volontaire de grossesse. L’avortement est considéré comme un crime, mais une faille juridique permet à une femme d’avorter si deux médecins conviennent que la grossesse la met en danger physique ou mental. Selon des chiffres officiels, environ 13 000 avortements ont été pratiqués l’an dernier dans le pays, dont 57 après la vingtième semaine de grossesse.

Autres actualités

01 - Septembre - 2018

Funérailles nationales pour John McCain, en présence d’Obama et de Bush, mais sans Trump

Le sénateur républicain, farouche opposant à l’actuel président américain, ne souhaitait pas qu’il assiste à la cérémonie...

31 - Août - 2018

Mali : l’ONU ouvre la voie à des sanctions contre des membres de groupes armés

Le Conseil de sécurité a prorogé d’un an le régime général de sanctions, après la remise d’un rapport accusant des responsables de...

31 - Août - 2018

En Saxe, soupçon de collusion entre les autorités et l’extrême droite

De nouvelles manifestations sont prévues ce week-end tandis que la police allemande cherche à montrer qu’elle reste maître de la situation après les violences...

30 - Août - 2018

Les élections de mi-mandat, un « référendum » à risques pour Donald Trump

Si le Parti démocrate espère récupérer le contrôle de la Chambre des représentants, le Sénat paraît plus difficile à conquérir....

30 - Août - 2018

Au Cambodge, le premier ministre Hun Sen relâche certains opposants

Alors que son parti a remporté tous les sièges au Parlement, le dirigeant, accusé de dérive autoritaire, doit donner quelques gages à l’Occident...