">

L’intervention turque en Syrie semble compromise

08 - Janvier - 2019

Une délégation américaine emmenée par John Bolton, le conseiller pour la sécurité nationale de la Maison Blanche, devait être reçue, mardi 8 janvier, à Ankara, afin d’évoquer le retrait des forces américaines de Syrie. La rencontre s’annonce houleuse, tant les récentes déclarations de M. Bolton contrarient le projet turc d’une intervention militaire dans le nord-est de la Syrie.
« Les Turcs ne devraient pas s’engager militairement sans une totale coordination ni sans l’accord des Etats-Unis », a déclaré M. Bolton, dimanche, depuis Jérusalem. Il a également affirmé qu’il n’y aurait pas de retrait américain, du moins tant que la Turquie ne garantissait pas la sécurité des combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG), alliés de Washington dans la lutte contre l’organisation Etat islamique.

Autres actualités

18 - Avril - 2019

Indonésie : le président sortant, Joko Widodo, remporte les élections

Le président Joko Widodo, qui incarne l’Indonésie de la tolérance et de la diversité dans un archipel travaillé par la montée en puissance des...

17 - Avril - 2019

Crise libyenne : Rome craint une perte d’influence à Tripoli et de nouveaux départs de migrants

Au moins l’avertissement est clair. Interrogé par le quotidien italien La Repubblica, le chef du gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale, Faïez...

17 - Avril - 2019

Au Liberia, vague de licenciements dans les plantations géantes de Firestone

Le plus gros employeur privé au Liberia, la compagnie de pneumatiques Firestone, a annoncé mardi 16 avril le licenciement de 200 de ses 6 200 employés, qui devrait être...

16 - Avril - 2019

Incendie de Notre-Dame : « tristesse » et « solidarité » au sein de la communauté internationale

Espagne, Etats-Unis, Allemagne, Liban… Alors qu’un violent incendie était toujours en cours dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, lundi 15 avril, des chefs...

16 - Avril - 2019

Au Brésil, une bavure policière met en lumière le racisme des forces de l’ordre

Evaldo Rosa dos Santos, 51 ans, était un père de famille sans histoire. Un « citoyen de bien », selon le vocable prisé par le président brésilien...