La Turquie poursuit sa purge jusqu’au sein de l’OSCE

08 - Décembre - 2017

Ankara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais une Ankara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Recep Tayyip Erdogan, à Athènes, le 7 décembre. COSTAS BALTAS / AFP
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais uneAnkara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Recep Tayyip Erdogan, à Athènes, le 7 décembre. COSTAS BALTAS / AFP
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais uneAnkara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Recep Tayyip Erdogan, à Athènes, le 7 décembre. COSTAS BALTAS / AFP
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais uneAnkara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Recep Tayyip Erdogan, à Athènes, le 7 décembre. COSTAS BALTAS / AFP
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais uneAnkara réclame l’exclusion d’une ONG proche de Fethullah Gülen. The Journalists and Writers Foundation dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Recep Tayyip Erdogan, à Athènes, le 7 décembre. COSTAS BALTAS / AFP
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, traque désormais ses opposants jusqu’au sein des organisations internationales. Depuis plusieurs mois, il fait pression sur l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Vienne, pour qu’elle prive d’accréditation une ONG nommée The Journalists and Writers Foundation (JWF). Fondée en 1994, cette dernière dénonce régulièrement les atteintes aux libertés en Turquie.
Selon le gouvernement turc, elle est liée au mouvement du prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et désigné comme étant le suspect numéro un du putsch manqué de juillet 2016. « A en croire le site Internet de cette prétendue ONG, devinez qui en est le président d’honneur ? Fethullah Gülen ! », s’indigne l’ambassadeur turc, Engin Soysal, accrédité auprès de cet organisme créé en 1973 pour faciliter le dialogue entre l’Amérique du Nord, l’Europe et l’ex-URSS.
« Il est tout simplement révoltant qu’on puisse attendre de moi que je sois assis à la même table que des personnes intimement liées à ceux qui ont utilisé nos propres équipements militaires pour tuer 250 de nos citoyens et tenter d’assassiner notre président », dénonce le diplomate. Il juge tout aussi anormal que des personnes en lien avec une « entité terroriste » puissent participer à des forums de discussions organisés par l’OSCE. Il réclame leur exclusion et a plusieurs fois pratiqué ces derniers temps la politique de la chaise vide, afin de marquer sa désapprobation.
Concession
Les règlements de l’OSCE – qui a réuni son conseil ministériel annuel jeudi 7 et vendredi 8 décembre – lui permettent d’exclure les ONG ayant recours à la violence ou approuvant sont utilisation. Mais le gouvernement turc n’aurait toujours pas présenté de preuves concrètes, concernant The Journalists and Writers Foundation.
A la suite de ces pressions, l’OSCE a toutefois décidé, selon plusieurs sources concordantes, de mettre sur pied un groupe de réflexion informel, actuellement chargé d’étudier les règles d’admission des ONG aux réunions de concertation entre l’OSCE et la société civile. Mais une modification des règles de procédure ne peut se faire qu’au consensus. Et les pays occidentaux refusent d’ouvrir une boîte de Pandore permettant à tous les Etats de bloquer des ONG jugées trop indociles.

Autres actualités

29 - Juillet - 2017

Ingérence russe dans la campagne américaine : Moscou réplique aux sanctions prises par les Etats-Unis

La Russie plafonne le nombre de diplomates américains dans les principales villes. Vladimir Poutine, le président russe, et Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe,...

29 - Juillet - 2017

Hambourg : l’agresseur au couteau était connu de la police comme « islamiste »

Selon le ministre de l’intérieur de la ville-Etat, l’agresseur de 26 ans souffrait aussi de problèmes « psychologiques ». L’homme de 26 ans...

28 - Juillet - 2017

Israël  : nouvelles tensions autour de l’esplanade des Mosquées

Après une journée de violences, la police a interdit vendredi l’accès au lieu de culte musulman pour les Palestiniens de moins de 50  ans. La trêve aura...

28 - Juillet - 2017

Au Venezuela, Nicolas Maduro à la recherche des pleins pouvoirs

L’Assemblée constituante qui doit être élue dimanche pour réformer la Constitution vénézuélienne « serait un chèque en blanc...

27 - Juillet - 2017

L’ombre du Hezbollah plane sur la visite de Saad Hariri à Washington

La visite officielle du premier ministre libanais se déroule sur fond de combats menés par le Hezbollah à la frontière libano-syrienne contre des groupes djihadistes....