Le FMI abaisse ses prévisions de croissance mondiale sur fond de tensions commerciales

25 - Juillet - 2019

Le Fonds monétaire international (FMI) a une nouvelle fois abaissé ses prévisions de croissance mondiale, invoquant, mardi 23 juillet, une décélération des échanges commerciaux et une aggravation des tensions géopolitiques. La hausse du PIB mondial devrait atteindre 3,2 % en 2019 et 3,5 % en 2020, soit 0,1 point de moins sur chacune des deux années par rapport aux prévisions d’avril. C’est dans les pays émergents que le recul est le plus marqué, particulièrement au Brésil, au Mexique et en Russie. Dans ces deux pays d’Amérique latine, les incertitudes concernant d’importantes réformes structurelles, notamment celle des retraites au Brésil, freinent les investissements. Le taux de croissance en Amérique latine ne devrait pas dépasser les 0,6 % en 2019, plombé par la crise au Venezuela.

Autres actualités

10 - Avril - 2018

Bruxelles et Varsovie jouent la détente sur l’Etat de droit

En visite en Pologne, Frans Timmermans, le vice-président de la Commission européenne, n’a pas obtenu les concessions espérées. Frans Timmermans (à...

09 - Avril - 2018

Après un long séjour aux Etats-Unis, le prince héritier saoudien « MBS » de passage à Paris

Mohammed Ben Salman mise désormais tout sur sa relation privilégiée avec les Etats-Unis. La France est redevenue ce qu’elle était : un partenaire, de second...

09 - Avril - 2018

Nucléaire iranien : la mise en garde de Téhéran à Washington

Donald Trump avait menacé en janvier de sortir son pays de l’accord le 12 mai, à l’expiration d’un ultimatum lancé aux Européens pour durcir le...

07 - Avril - 2018

Brésil : la disgrâce d’un président

Editorial. Après la condamnation de Lula, la justice brésilienne doit faire preuve de la même attention envers les dirigeants du centre ou de la droite...

07 - Avril - 2018

François-Aïssa Touazi : il faut « renforcer la relation de confiance Paris-Riyad »

Alors que Donald Trump et le clan Salman ont marqué leur rapprochement, la France de Macron doit inscrire sa marque dans sa relation avec Riyad, explique l’ancien diplomate...