Pour les Etats-Unis, Omrane est le « vrai visage » de la guerre en Syrie

19 - Août - 2016

Pour les Etats-Unis, Omrane est le « vrai visage » de la guerre en Syrie

En septembre 2015, la photo du cadavre d’Aylan Kurdi, 3 ou 4 ans, sur une plage turque avait contribué à sensibiliser l’opinion publique à la crise des réfugiés. En août 2016, c’est au tour d’Omrane, à peine plus âgé, de devenir le visage d’un autre drame : la guerre en Syrie.

Les images de ce garçonnet blessé par les bombardements à Alep, dans le nord-est du pays, suscitaient jeudi 18 août une grande émotion sur les réseaux sociaux. Le hashtag (mot-dièse) #Syrianboy était les des plus relayés sur Twitter aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.

Au même moment, sur le terrain, le bruit sourd des raids aériens résonnait.

Autres actualités

11 - Juillet - 2019

Au Mexique, le départ fracassant d’un ministre fragilise le président « AMLO »

« Les changements de régime entraînent des divergences », a répété, mercredi 10 juillet, le président mexicain, Andres Manuel Lopez Obrador...

10 - Juillet - 2019

Emmanuel Macron veut un « débat sans tabou » avec les diasporas africaines

Emmanuel Macron aime faire bouger les lignes. Ou le laisser espérer. En organisant, jeudi 11 juillet à l’Elysée, un « grand débat » avec des...

10 - Juillet - 2019

Un an après le retour du régime, violents troubles dans le Sud syrien

Explosions, enlèvements, assassinats, tirs contre des barrages militaires : la province de Deraa, dans le sud de la Syrie, berceau de la révolution de 2011, que les forces...

08 - Juillet - 2019

Turquie : le président Erdogan fait main basse sur la politique monétaire

Soucieux de régenter la politique monétaire, le président Recep Tayyip Erdogan a limogé d’un trait de plume, samedi 6 juillet, Murat Cetinkaya, le gouverneur de...

08 - Juillet - 2019

Au Brésil, la chute de Sergio Moro, l’ancien juge star de l’anticorruption

Tel un César s’adressant à la plèbe, Jair Bolsonaro avait soumis, dimanche 7 juillet, le destin de son ministre de la justice à l’appréciation...