Rohingya : la reconnaissance de l’implication de l’armée birmane est un « pas positif » pour Aung San Suu Kyi

13 - Janvier - 2018

La dirigeante birmane a déclaré vendredi que la reconnaissance par l’armée de son implication dans un massacre de cette communauté était une « indication positive ».

Aung San Suu Kyi lors d’une conférence de presse avec le ministre japonnais des Affaires étrangères, Taro Kono, le 12 janvier. 
La dirigeante birmane Aung San Suu Kyi a estimé vendredi 12 janvier au soir, à l’issue d’une rencontre avec le ministre japonais des Affaires étrangères, que la reconnaissance par l’armée birmane de son implication dans le massacre de dix Rohingya était un « pas positif ».
Mercredi, l’armée birmane avait pour la première fois, également reconnu l’existence, dans l’Etat de l’Arakan (nord), d’un charnier de membres de cette minorité musulmane victime d’exactions depuis des mois. L’armée avait toujours nié les accusations émises par des Rohingya.

Autres actualités

31 - Mai - 2018

Commerce : dialogue de sourds à l’OCDE entre Washington et ses partenaires

Dans un discours, le président Emmanuel Macron a plaidé pour le sauvetage et la réforme du système multilatéral, mercredi, à Paris. Le...

30 - Mai - 2018

Moscou et Kiev s’accusent mutuellement du meurtre d’un journaliste russe en Ukraine

L’émotion était vive à Moscou où les réactions consternées ont afflué, mardi 29 mai, sitôt que la nouvelle de la mort du journaliste...

30 - Mai - 2018

En Tunisie, un procès relance une justice transitionnelle en plein doute

Le procès sur la disparition d’un militant islamiste en 1991, ouvert mardi à Gabès, redonne espoir aux militants des droits de l’homme.   C’est...

29 - Mai - 2018

Commerce : l’Europe fataliste face à Donald Trump

Le président des Etats-Unis doit dire avant le 1er juin s’il taxe ou non les importations américaines d’acier et d’aluminium européens. Trois mois...

29 - Mai - 2018

Engrenage infernal en Italie

En confiant à un ancien économiste du FMI le soin de former un gouvernement provisoire, le président Sergio Mattarella risque d’attiser l’euroscepticisme ambiant....