« Sous une forme ou une autre, la confrontation entre la Chine et Taïwan est inévitable »

25 - Avril - 2019

Au-dessus, il y a les typhons, qui adorent Taïwan. Au-dessous, il y a les tremblements de terre, qui accompagnent souvent les typhons. En face, il y a l’armée chinoise, qui manœuvre, menace, gesticule. Les démocrates taïwanais sont courageux, ils affrontent toutes sortes de météos. Mais ces temps-ci, avec le président Xi Jinping à Pékin, l’île de Taïwan vit le baromètre calé sur la zone des tempêtes.
D’un côté, Taïwan, 23 millions d’habitants, 400 kilomètres de long sur cent de large, unique démocratie libérale du monde chinois et qui entend le rester : presse la plus critique de la région, élections libres (depuis 1996), Etat de droit (depuis 1987), 40 % de femmes dans les assemblées électives, liberté d’expression garantie, tolérance religieuse maximale. A Taipei, la capitale, on respire quelque chose qui vient du grand large, une certaine légèreté.

Autres actualités

09 - Février - 2019

Centrafrique : gouvernement et rebelles signent un accord de paix

Fin du suspense et des rumeurs alarmistes. Le contenu de l’« accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine (RCA) », signé...

08 - Février - 2019

Juan Guaido, un homme pressé qui incarne le renouveau du Venezuela

Au Venezuela, en dehors des chaînes de l’Etat, il n’est question que de lui. Elu député depuis neuf ans, devenu président de l’Assemblée...

08 - Février - 2019

La rencontre entre Di Maio et des « gilets jaunes » est une « ingérence grave », selon Jacline Mouraud

La rencontre en France du vice-premier ministre italien, Luigi Di Maio, avec des « gilets jaunes » est « une ingérence grave », a dénoncé vendredi 8...

07 - Février - 2019

Les Témoins de Jéhovah dans le collimateur de la Russie

Après dix mois de procès, le tribunal d’Orel, une petite ville située à 360 kilomètres au sud-ouest de Moscou, a rendu son verdict : six ans de prison...

07 - Février - 2019

La Banque mondiale bientôt pilotée par l’un de ses plus rudes censeurs ?

Qui aime bien châtie bien ? C’est ainsi que le personnel de la Banque mondiale pourrait interpréter le choix des Etats-Unis en faveur de David Malpass pour présider...