Vladimir Poutine attendu à Berlin sur le dossier ukra

19 - Octobre - 2016

Incertaine jusqu’au tout dernier moment, la rencontre du « format Normandie » prévue mercredi 19 octobre au soir réunira bien à Berlin, autour de l’épineux dossier ukrainien, Angela Merkel, François Hollande, Petro Porochenko et Vladimir Poutine. Dans le climat de profonde défiance qui prévaut entre Russes et Occidentaux, particulièrement sur le dossier syrien, cette visite du président russe, confirmée la veille seulement de la rencontre, constitue une petite victoire pour la diplomatie européenne.

Mais ce succès, d’autant plus marquant qu’il intervient après l’annulation d’une visite à Paris de M. Poutine, ne peut cacher une réalité plus dure : le processus de Minsk, du nom des accords de paix signés dans la capitale biélorusse en février 2015, est au point mort. Et sur la Syrie, objet d’une rencontre dans la soirée entre dirigeants français, allemand et russe, l’impasse est quasi totale.

Autres actualités

05 - Juillet - 2018

La Cour suprême polonaise entre en résistance

Le gouvernement conservateur fait face à une fronde des magistrats, incarnée par la première présidente de la plus haute instance judiciaire du pays, Malgorzata...

05 - Juillet - 2018

Le Nigeria, laboratoire de la nouvelle politique africaine d’Emmanuel Macron

Lors de sa visite à Nouakchott et à Lagos, le président français a alterné annonces culturelles et économiques et discussions sur la...

04 - Juillet - 2018

« Trump est-il capable de retenir la leçon du sommet de Reykjavik ? »

Dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde », estime que Donald Trump ferait bien de s’inspirer de la rencontre Reagan-Gorbatchev de 1986 pour celle...

04 - Juillet - 2018

La présidente de la Cour suprême polonaise défie le pouvoir

La réforme de l’appareil judiciaire et le renouvellement des effectifs permettent au parti au pouvoir Droit et justice de prendre le contrôle de l’ensemble du...

03 - Juillet - 2018

En Allemagne, Merkel sauve son gouvernement mais reste en sursis

La chancelière a finalement renoncé à sa politique migratoire d’accueil, mais reste une cible privilégiée pour les courants conservateurs les plus durs....