Au Liban, le mouvement de protestation se laisse un répit en attendant le nouveau gouvernement
02 - Novembre - 2019
Trois jours après la capitulation du premier ministre Saad Hariri face à la colère de la rue, le Liban hésite entre retour à la normale et poursuite de la contestation. Vendredi 1er novembre, les banques ont rouvert leurs portes, pour la première fois en deux semaines, et, les barrages routiers ayant été levés, la circulation a repris comme à l’accoutumée. Mais des rassemblements de protestation ont eu lieu dans les villes de Saïda et Tripoli et dans le centre de Beyrouth, et des protestataires ont brièvement occupé le siège de l’Association des banques, signe que la colère contre la classe dirigeante reste encore vive.
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