Rohingya : la reconnaissance de l’implication de l’armée birmane est un « pas positif » pour Aung San Suu Kyi

13 - Janvier - 2018

La dirigeante birmane a déclaré vendredi que la reconnaissance par l’armée de son implication dans un massacre de cette communauté était une « indication positive ».

Aung San Suu Kyi lors d’une conférence de presse avec le ministre japonnais des Affaires étrangères, Taro Kono, le 12 janvier. 
La dirigeante birmane Aung San Suu Kyi a estimé vendredi 12 janvier au soir, à l’issue d’une rencontre avec le ministre japonais des Affaires étrangères, que la reconnaissance par l’armée birmane de son implication dans le massacre de dix Rohingya était un « pas positif ».
Mercredi, l’armée birmane avait pour la première fois, également reconnu l’existence, dans l’Etat de l’Arakan (nord), d’un charnier de membres de cette minorité musulmane victime d’exactions depuis des mois. L’armée avait toujours nié les accusations émises par des Rohingya.

Autres actualités

05 - Novembre - 2019

Au Burkina Faso, l’assistance à double tranchant de la France

Après le Tchad, et avant le Mali, la ministre française des armées, Florence Parly était lundi 4 novembre au Burkina Faso, où les attaques terroristes et les...

04 - Novembre - 2019

Au Pakistan, le premier ministre Imran Khan face à la colère de milliers de manifestants

C’est une alerte sérieuse pour le premier ministre pakistanais, Imran Khan, la première depuis son élection en juillet 2018. Des milliers de manifestants se sont...

04 - Novembre - 2019

RDC : assassinat d’un animateur radio impliqué dans la lutte contre Ebola

Un animateur de radio locale, impliqué dans la lutte contre la maladie à virus Ebola, a été assassiné dans le nord-est de la République...

02 - Novembre - 2019

Hongkong : nouveaux affrontements avec la police lors d’une manifestation non autorisée

Près de cinq mois après le début de la contestation, leur mouvement ne montre aucun signe de recul. Vêtus de noir et portant des masques sur le visage en dépit...

02 - Novembre - 2019

Au Liban, le mouvement de protestation se laisse un répit en attendant le nouveau gouvernement

Trois jours après la capitulation du premier ministre Saad Hariri face à la colère de la rue, le Liban hésite entre retour à la normale et poursuite de la...